Décès de Jean-Marie Le Chevallier

Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller municipal de Toulon, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, membre du conseil national du Rassemblement National

Jean-Marie Le Chevallier est décédé d’une crise cardiaque hier soir, en Vendée, à l’âge de 83 ans. Ancien député à l’Assemblée Nationale et au Parlement européen, ancien Maire de Toulon, il aura marqué notre mouvement et notre ville par son engagement.

Homme affable, engagé initialement chez les giscardiens, il fut l’un des symboles de l’accroissement du Front National dans les années 80. Les conflits internes et les divisions l’ont éloigné de nous et ont eu raison de la gestion municipale de Toulon les deux dernières années de mandat, tranchant avec les succès et le redressement de la ville de 1995 à 1999.

Mais il avait l’amour de la France et des Français chevillé au cœur. A ses filles, à sa famille, nous présentons nos sincères condoléances.

Après l’horreur, la réaction doit être l’action !

Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National

Après l’horreur indicible du meurtre et de la décapitation de Samuel Paty, l’insoutenable logorrhée des politiques au pouvoir se distingue par leurs émotions affichées et leurs déclarations solennelles écœurantes.

De gauche comme de fausse droite, au pouvoir depuis des décennies, ils sont en fait solidairement responsables de la situation qui a conduit à ce crime, qui fait suite à tant d’autres. Leur stratégie de la bougie ne marche plus ; pire, elle a participé à continuer à laisser assassiner les nôtres. En désarmant physiquement et moralement les Français, en organisant, en favorisant et en encourageant l’immigration massive, ils nous ont placé sous la menace d’un grand péril. 

Pour respecter l’émotion légitime des Toulonnais et la participation à l’hommage national de ce mercredi soir, les élus du Rassemblement National tiennent préalablement, cette même fin d’après-midi, à déposer une gerbe au Monument aux morts de la ville en mémoire de cet enseignant assassiné.

Mais aussi et surtout, la réponse doit être politique. Nous réaffirmons que rien ne se réglera en France sans en finir avec l’immigration-invasion, sans inverser les flux migratoires (à commencer par l’expulsion des fichés S étrangers ou binationaux), sans mettre fin au regroupement familial, au droit du sol et aux abus du droit d’asile (dont bénéficiait par exemple ce terroriste). Le terrorisme est un acte de guerre ; il exige donc une législation de guerre. On ne répond pas à « l’hydre islamique » avec des paroles, des bougies et des ballons.