Interdiction des terrasses chauffées en 2021…

Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, membre du conseil national du Rassemblement National

Après son « Conseil de défense écologique » (sic !), le gouvernement a annoncé des mesures concrètes, à commencer par l’interdiction des terrasses chauffées à partir de 2021 ainsi que des chaudières au fioul en 2022.  Alors que les priorités pour sécuriser et apaiser la France ne sont jamais à l’ordre du jour d’Emmanuel Macron, la question écologique se dote donc d’un vocabulaire martial et punitif des plus odieux.

De nombreux cafés et restaurants sont au bord de la faillite après le confinement. Dans notre région plus particulièrement encore, l’interdiction des terrasses chauffées au retour de températures plus fraîches sera le meilleur moyen de leur faire faire faillite encore plus vite ! De surcroît, leur toute petite et très relative consommation énergétique n’est en rien un « enjeu » pour la planète ou pour la santé de nos compatriotes.

En comparaison, les traités de libre-échange organisent l’importation de marchandises produites dans des conditions sociales et environnementales déplorables, polluantes en transport, dramatiques en concurrence déloyale avec nos producteurs locaux. Voilà un enjeu bien plus important sur lequel le Président de la République et ses affidés se refusent de revenir ou de rediscuter.

En activant le levier de la pression et du chantage sur les honnêtes gens, par leur soumission au dogme de la libre circulation des biens, des marchandises, des hommes et des capitaux, nos dirigeants sont coupables du suicide français qui continue. Vivement le sursaut en 2022 !

Nouveau règlement de compte à Toulon : toujours les mêmes raisons…

Communiqué de presse d’Amaury NAVARRANNE, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National

Un troisième règlement de compte mortel en moins d’un mois dans les « quartiers » de Toulon est intervenu cette nuit. Sur fond une fois de plus de trafic de drogue, un individu de 18 ans, né en Tunisie, défavorablement connu des services de police « sous différentes identités » a été abattu.

Avec cette nouvelle affaire, les mêmes demanderont les moyens de police supplémentaires qu’ils ont eux-mêmes contribués à faire diminuer hier. Pire, ne se posant jamais la question de leurs responsabilités quant aux problèmes de fond, ils condamnent surtout notre société à poursuivre son ensauvagement.

Il faut avoir enfin le courage de répondre aux questions d’immigration massive et de politique d’assimilation, ainsi qu’à la primo-délinquance et au laxisme qui l’encourage. Ce cocktail explosif continuera sinon de nous faire compter les morts. Nous sommes prêts à participer à une grande conférence locale sur ces sujets. D’autres accepteront-ils de se mettre autour de la table ?

Règlement de compte à Toulon : ouvrir les yeux et agir !

communiqué de presse d’Amaury NAVARRANNE, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National

Une figure du narco-banditisme marseillais a été abattue la nuit dernière à l’entrée de la cité des Œillets à Toulon. Ce quartier rongé par le trafic de drogue, comme tant d’autres dans notre ville, n’en peut plus de l’absence de véritable guerre que doit mener la force publique face à cette multi-délinquance.

Les moyens supplémentaires demandés par le Maire de Toulon viendront-ils remplacer ceux qu’il a laissé supprimer avec le gouvernement dont il était ministre sous Nicolas Sarkozy ? Une véritable stratégie d’Etat sera-t-elle mise en place contre cette délinquance grandissante pour faire revenir l’ordre ? En finira-t-on un jour avec le laxisme judiciaire ?

A toutes ces questions il faudra bien vite des réponses. Le sang a encore coulé à Toulon. La vie reprend son cours dans ces quartiers, la peur au ventre. Nous restons engagés à faire entendre la voix des honnêtes gens qui en souffrent ! Nous en appelons à une table ronde de tous les acteurs de la sécurité, du pouvoir régalien aux collectivités locales, pour déterminer rapidement une stratégie visant à en finir avec l’ensauvagement de notre ville.  

Deux sujets typiques au dernier conseil municipal de Toulon

Politique de la ville, la réalité de la soumission au communautarisme. En prétendant répondre aux problématiques de l’immigration, les pouvoirs publics ne cessent d’en aggraver les causes et leurs conséquences :

Quand les abeilles meurent, les jours de l’homme sont en danger : la nécessaire protection de nos abeilles et de notre éco-système, tout en déplorant que l’on continue d’implanter des essences comme le tilleul argenté dont on sait à présent que leur pollen tue les abeilles :

Passé colonial, massacre d’Oran : la vérité c’est ce qu’est devenue l’Algérie

Communiqué d’Amaury NAVARRANNE, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National

Ce 5 juillet commémore le sinistre souvenir du massacre d’Oran, celui de centaines de victimes civiles, pieds-noirs et harkis, perpétré en 1962 par le FLN lors de l’indépendance de l’Algérie. L’impuissance voulue de de Gaulle et la cruauté des indépendantistes islamistes faisaient encore couler le sang. 
Alors que cette date sonne comme un douloureux rappel, notamment pour nos amis rapatriés, voici que l’Algérie indépendante prétend encore demander réparation et excuses pour notre passé colonial. Avec des infrastructures construites par la France, sur des routes construites par la France, et dans des écoles, des hôpitaux et tant d’autres bâtiments construits par la France, les « indépendants » ne cessent de se plaindre de ne surtout jamais avoir su s’unir et vivre paisiblement depuis le départ de la France.
Le passé n’est jamais tout beau. Mais la période française en Algérie n’a pas à rougir de ce qu’elle a laissé. Face au risque de devenir demain, par les effets de l’immigration massive, une colonie de nos anciennes colonies, nous continuons en héritiers les tâches à accomplir : défendre toujours la France, son honneur et son identité. Les disparus d’Oran ont été abandonnés par le pouvoir de l’époque ; nous, nous ne les oublions pas.