Mois: juin 2015
Ombre et lumière…
Communiqué de presse du Front National Toulon – Le 4 juin 2015
Ce soir à la Synagogue de Toulon, les représentants des cultes catholique, protestant, copte, musulman et juif ont appelé à prier et à s’engager contre le massacre des chrétiens d’Orient. Le député de Toulon, et premier-adjoint au Maire, Geneviève Lévy, est également intervenue au pupitre sur le sujet. Son intervention ne fut pas la plus saluée de toutes, et pour cause…
Mme Lévy a en effet osé intégrer dans son propos une comparaison de la situation dramatique que vivent les Syriens, Irakiens et bien d’autres, à la situation de la ville de Toulon et des « heures sombres » dont la commune se serait libérée en 2001.
Cette intolérable comparaison mérite d’être dénoncée. A l’immonde et à la calomnie, Mme Lévy rajoute l’obscène en osant affirmer que les égorgeurs, mutilateurs et autres barbares seraient à l’équivalent d’une ville gérée par le Front National. Cette déclaration ignoble lui appartient. Elle aura à s’en expliquer d’une manière ou d’une autre !
Manque de logique ? Droit de réponse à Var Matin
à Monsieur Robert Namias, directeur de la publication Var Matin
Monsieur le directeur de la publication,
Mis en cause dans votre édition Var Matin « Toulon » du 30 mai 2015, j’ai l’honneur de vous prier, et au besoin de vous requérir, de bien vouloir publier, dans la même présentation, la mise au point qui suit, en vertu du droit de réponse régi notamment par l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse :
Titre du droit de réponse : Pour s’exprimer il faut pouvoir parler
Début du droit de réponse :
Dans l’édition de Var Matin de ce jour, la page de compte-rendu du conseil municipal toulonnais d’hier dispose d’un article intitulé « Quelle logique pour le FN ? », insinuant ainsi un manque de logique ou de clarté dans nos votes…. Or, l’article omet de dire que les explications de vote nous ont été interdites par Monsieur Falco à partir des échanges au sujet des litiges dans les hébergements d’employés municipaux.
De nombreuses tentatives de prises de parole eurent d’ailleurs lieu entre ce moment et la fin du conseil municipal. Face à ce déni du droit le plus élémentaire de l’expression de l’opposition, Amaury Navarranne pour le groupe FN a d’ailleurs protesté en fin de réunion, s’appuyant sur un rappel au règlement intérieur en vigueur..
La plus élémentaire déontologie aurait dû faire spécifier ce fait : lorsque l’on est contraint au silence, il est en effet compliqué de se faire entendre.
Fin du droit de réponse.
Amaury NAVARRANNE, conseiller municipal FN de Toulon