Vœux du Président de l’Union patronale du Var : l’avanie !

Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, membre du conseil national du Rassemblement National, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et conseiller municipal de Toulon

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Gérard Cerutti présentait hier ses vœux dans la salle de réception de l’Opéra de Toulon. A cette occasion, le Président de l’Union patronale du Var s’est autorisé à attaquer « les Gilets Jaunes », leurs « revendications séditieuses et antinomiques », affirmant que « le peuple français ne se réduit pas à celui des ronds-points ».

Quelques  débordements ne peuvent confondre la révolte légitime des Gilets Jaunes avec une infime minorité de provocateurs. Car le peuple français c’est aussi justement cette France des ronds-points où se retrouvent des artisans, des commerçants, des professions libérales ou encore des chefs de petites et moyennes entreprises, tous accablés de taxes et de charges, tous soumis à des choix politiques qui usent abusent du travail des Français.

La campagne en cours pour la présidence de l’UPV ne doit pas être l’occasion d’humilier celles et ceux qui cherchent à faire éclore une ambition pour changer les choses dans notre pays. Nous dénonçons l’arrogance et le mépris d’une hyper-classe qui, à l’instar de son chouchou Macron, ici ou ailleurs, continue dans l’aveuglement inconscient de sa propre ambition. La sortie de crise est possible, et la réponse ne sera que politique, en commençant par retrouver une vraie représentation populaire, tel que le propose le Rassemblement National. 

Situation quasi insurrectionnelle à Toulon : l’Assemblée nationale doit redevenir représentative du peuple 

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[communiqué de presse d’Amaury Navarranne, conseiller national du Rassemblement National, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon]
 
De graves débordements ont eu lieu ce matin dans le centre-ville de Toulon ainsi qu’à La Seyne-sur-Mer : incendies et violences de centaines de lycéens ou de jeunes racailles à l’encontre des forces de l’ordre, d’habitants ou de commerces. 
 
Ces actes, souvent le fait d’une jeunesse ethnique ou désœuvrée, ne peuvent que s’aggraver dans les jours à venir. Aux revendications légitimes et nécessaires des Gilets Jaunes, commencent à se joindre tous les débordements. Incapable de répondre au refus du racket fiscal, le gouvernement laisse à présent faire exploser la situation.
 
Il est urgent, comme le demandent Marine Le Pen et le Rassemblement National, de dissoudre l’Assemblée nationale et de réélire à la proportionnelle des députés vraiment représentatifs, seule solution pour assurer l’expression de tous et rendre sa légitimité populaire à une institution qui ne l’est plus.