Hubert Falco
2021, une année de combat !
Deux sujets typiques au dernier conseil municipal de Toulon
Politique de la ville, la réalité de la soumission au communautarisme. En prétendant répondre aux problématiques de l’immigration, les pouvoirs publics ne cessent d’en aggraver les causes et leurs conséquences :
Quand les abeilles meurent, les jours de l’homme sont en danger : la nécessaire protection de nos abeilles et de notre éco-système, tout en déplorant que l’on continue d’implanter des essences comme le tilleul argenté dont on sait à présent que leur pollen tue les abeilles :
S’entourer de militaires en uniforme ne fait pas de tout le monde un chef de guerre…
Tribune libre d’Amaury Navarranne, conseiller municipal de Toulon -Rassemblement National
La mise en scène était martiale : entouré de militaires haut gradés en uniforme, le « chef de guerre » Hubert Falco présentait hier à la presse son plan de distribution de masques tissus gratuits à la population. N’y cherchez pas les élus, encore moins ceux de l’opposition : rien ne devait filtrer de la stratégie « usine à gaz » du Maire de Toulon et président de la métropole. A partir de ce matin il était possible de se connecter au site de la ville ou de téléphoner au numéro dédié. Dans de nombreuses communes de la métropole, ou bien encore ailleurs en France, grandes ou petites avaient déjà réussi depuis des jours ces distributions.
30 minutes… Il aura suffi de 30 minutes pour mettre hors d’usage tout le plan du « chef de guerre ». Site inaccessible, numéro de téléphone saturé. Pour les plus chanceux les rendez-vous de réception pouvaient être fixés par exemple au 18 Mai, dans le créneau horaire de 8H15 à 8H29 précisément…
« Victime de son succès » : les communicants de la ville de Toulon expliquaient que l’affluence (inattendue pour eux, donc) ne pouvait être traitée. En lançant son opération « masques gratuits » à 6 jours d’un déconfinement tant attendu et dont on ne sait plus très bien si le masque sera ensuite obligatoire ou non, Hubert Falco et ses « communicants » n’avaient pas anticipé que 171.000 toulonnais ça faisait du monde…
Et dans la stratégie militaire d’Hubert Falco, il manquait aussi l’attention envers nos aînés. Ainsi donc, les plus débrouillards des trentenaires seront servi avant les septuagénaires. La liste des électeurs de la commune (avec leur date de naissance) aurait par exemple pu être utile pour organiser en amont un service prioritaire des populations les plus à risques ; mais n’en demandez pas trop…
L’armée assurera sa mission de ramener et stocker les masques demain. Mais l’expérience de ce matin, « côté civil », laisse entrevoir une suite des inscriptions et de la distribution folle. Je vous donne alors un bon conseil : ne comptez d’abord que sur vous-même dans cette crise, pour assurer vos arrières et vous coudre ou vous trouver un masque. Puis allez aussi chercher votre masque « municipal » et celui des vôtres si vous avez du temps : ce sont juste vos impôts qui les payent. Et retenez la leçon : s’entourer de militaires en uniforme ne fera pas de tout le monde un chef de guerre.
Masques : si l’on communique, il faut communiquer utilement !
Ce matin, je demande au Maire de Toulon de bien vouloir adopter une communication enfin claire sur les masques annoncés. Une page totalement inutile sur le site de la ville et un site dédié pour lequel on indique l’adresse mais qui est inexistant, ne servent à rien. Soit on ne publie rien, soit on publie un message utile. Et ça fait 4 jours que c’est ainsi… Espérons que notre action permettra à nouveau un peu de clarté !
Lettre ouverte : le vélo interdit à Toulon ?!

Monsieur le Maire,
Quelle a été ma surprise de découvrir sur la page Facebook de la ville de Toulon (lien suivant https://www.facebook.com/villedetoulon/photos/a.255154088698/10158400457243699) que l’on prétendait interdire la pratique du vélo dans le cadre de l’activité sportive ou de bien-être pendant cette période de confinement !
Alors que les Toulonnais subissent une situation inédite, dont la responsabilité et la durée sont dues au manque total de préparation et de vérité du gouvernement, il semble que les amateurs de vélo subissent la double peine. A ma connaissance, en aucun cas une quelconque directive ne peut prétendre interdire la pratique du vélo dans le cadre des mentions de l’attestation de déplacement, et ce pour tout motif. Ainsi donc chacun est libre d’aller faire ses courses, d’assister un proche, ou de prendre l’air avec son deux roues…
A moins que vous disposiez d’autres éléments, je vous prie, Monsieur le Maire, de bien vouloir faire retirer ces interdictions de toute communication de la ville. J’espère en outre que cette règle liberticide n’a pas été communiquée à nos agents de la Police municipale pour faire procéder à des verbalisations. Ils ont, vous en conviendrez, autre chose à faire que la chasse aux cyclistes.
En vous souhaitant bonne réception de cette demande, je vous prie de recevoir, Monsieur le Maire, l’expression de mes sentiments distingués.
Amaury NAVARRANNE, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National
Nous réitérons avec instance : couvre-feu à Toulon !

–
Je demandais la semaine passée au Maire de Toulon de prendre un arrêté afin d’instaurer un couvre-feu de 21h à 6h pour imposer une tranquillité nocturne sur la ville pendant cette période de confinement. Hubert Falco avait répondu par une fin de non recevoir.
.
Il est pourtant bien temps de donner tous les moyens aux forces de l’ordre pour faire respecter les règles dans les quartiers sensibles ou les zones communautarisées. Là, le confinement n’est pas respecté, et les « autorisations abusives » servent à tous les débordements. Les trafiquants de drogues commencent même leur « service de livraison ».
.
Alors que cette semaine la situation hospitalière va devenir très tendue dans notre région, combien de nos aînés de plus de 70 ans ne seront pas admis à l’hôpital pour laisser la place à des “jeunes” qui n’auront pas respecté le confinement ? Combien de policiers continueront à se faire cracher au visage par ceux à qui l’impunité profite ? Je réitère donc avec instance notre demande : pour couvre-feu à Toulon comme dans de nombreux autres endroits !
La Justice, pour l’honneur de Toulon !
Communiqué de presse d’Amaury NAVARRANNE, candidat du Rassemblement National à la Mairie de Toulon
–
L’enquête du Monde diplomatique qui affirme révéler de graves faits de fraudes électorales ou de pots-de-vin pour l’obtention de logements HLM a fait naître une légitime émotion à Toulon. Attaché à l’exigence de vérité, j’ai solennellement demandé au Maire de Toulon, premier magistrat de la ville, de saisir la justice pour faire toute la lumière sur ces allégations. Ayant refusé de le faire, quatre candidats ont alors légitimement exprimé leur inquiétude et ont saisi le préfet pour s’assurer un prochain scrutin municipal sincère.
–
Que la démarche ne plaise pas au député de la majorité municipale Lévy, peu m’importe. Qu’elle rappelle que sur l’élection de 2017, si triche il y a eu, le bureau incriminé ne représente que « 1,2% des votants » me laisse songeur. Que cette dernière nous accuse de manœuvre pourrait être comique si le sujet n’était pas aussi grave.
–
Mais prétendre qu’Hubert Falco a déjà lancé des procédures judiciaires est un amalgame incroyable : les seules procédures lancées par lui l’ont été il y a plusieurs semaines pour une affaire de comptes parodiques sur les réseaux sociaux. Toute proportion gardée, il semble très paradoxal de vouloir laver son honneur pour un compte Twitter et refuser de faire toute la lumière sur des faits qui, s’ils étaient avérés, révéleraient des méthodes de république bananière. Je réitère que, pour l’honneur de la ville, Hubert Falco doit saisir la justice pour les soupçons dernièrement avancés.
Municipales 2020 : le débat pour la mairie de Toulon sur France 3 Provence
Les Toulonnais ne veulent pas d’une république bananière
Communiqué de presse d’Amaury Navarranne, candidat à la Mairie de Toulon, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, conseiller municipal de Toulon, membre du conseil national du Rassemblement National
Est-il exact qu’en 2017, dans la 1ère circonscription du Var, à Toulon, les urnes ont été bourrées sans vergogne lors de l’élection d’un député ?
Est-il exact que des manœuvres frauduleuses à grande échelle ont entaché, en 2018, la régularité des élections pour les représentants des locataires de l’Office Toulon-Habitat-Méditerranée ?
Est-il exact qu’une responsable de l’Association varoise d’action des locataires (AVAL) a régulièrement perçu des pots de vin en échange de l’attribution de logements HLM à des populations précarisées ?
Ce sont là quelques-unes des graves accusations portées dans un article du Monde diplomatique de mars 2020 sous le titre « A Toulon le maire organise son plébiscite ». L’enquête affirme révéler les méthodes et secrets d’Hubert Falco, maire de la ville depuis 19 ans, qui brigue un 4e mandat. Les rédacteurs assurent détenir les preuves de leurs accusations.
Ces faits, s’ils s’avéraient exacts, seraient d’une extrême gravité, faussant les élections et constituant donc un TROUBLE À L’ORDRE PUBLIC sans précédent dans notre ville, dont l’image en sortirait abîmée. Les Toulonnais ont le droit absolu de connaître la vérité.
Trop, c’est trop. Afin de répondre à l’exigence de transparence inhérente à notre démocratie, il est du devoir de la ville de Toulon et de son maire de saisir la justice, seule à même de faire toute la lumière sur ces affaires.